Wittgenstein en France, ouvrage collectif sur la réception de Wittgenstein en France depuis les années 1960, sous la direction de Pascale Gillot (Université de Tours) et d’Élise Marrou (Sorbonne Université), paru aux éditions Kimé.
Catégorie : Ouvrages et essais
La portée musicale du poème
Des paradoxes de l’autonomie à la communauté sonore
Ouvrage collectif Sous la direction de Céline Barral, Katerina Paplomata & Marina Seretti.
340 pages, 14,5 x 20 cm – Collection Musique-Philosophie aux éditions Delatour.
Les philosophes et les sons
Publication de mon dernier ouvrage « Les philosophes et les sons » aux éditions Delatour.
Une dédicace s’est déroulée le 28 novembre à la librairie Tschann, à l’invitation de Yannick Poirier, directeur de la librairie.
Cet ouvrage a été présenté chez Tschann, le 6 février 2022. Ont participé à cette table ronde Laetitia Petit, Jean-Marc Chouvel, Charles-David Wajnman, Julien Labia (qui en a fait la présentation, publiée dans le livre).
Lydia Goehr – De l’autonomie musicale à l’expression
Parution dans la Collection Musique philosophie, Delatour-France, Edition dirigée par Lambert Dousson et Élise Marrou.
Ouvrages
Antonia Soulez (2016) Détrôner l’Être, Wittgenstein antiphilosophe ? (en réponse à Badiou). Paris : Lambert-Lucas. 300 p. (Le Discours philosophique)
[notice éditeur]
Antonia Soulez (2012) Au fil du motif, autour de Wittgenstein et la musique. Sampzon : Delatour France. 392 p. (Musique & Philosophie) Publié avec l’aide financière du Centre national du livre (CNL). Recueil de textes écrits depuis 1992, certains inédits.
[notice éditeur]
La peintre Sabine Savornin a fait un compte-rendu de ce livre.
Pierre Bailhache, Antonia Soulez et Céline Vautrin (2011) Helmholtz, du son à la musique. Paris : Vrin. 256 p. (Mathesis) Avec des textes de Hermann von Helmholtz, Ernst Mach et Carl Dahlhaus, traduits ou revus par Céline Vautrin. Publié avec le soutien de la Fondation Francis et Mica Salabert.
[notice éditeur, avec sommaire et extraits]
Antonia Soulez (2004) Wittgenstein et le tournant grammatical. Paris : PUF. 128 p. (Philosophies).
[notice Cairn.info avec extraits]
Makis Solomos, Antonia Soulez, Horacio Vaggione (dir.) (2003) Formel, informel. Paris : L’Harmattan. 260 p. (Philosophie Musique) Textes et entretiens, dont deux articles d’Adorno et de Dahlhaus traduits en français pour la première fois.
[notice éditeur, avec extraits]
Antonia Soulez (2003) Comment écrivent les philosophes ? (de Kant à Wittgenstein) ou le style de Wittgenstein. Paris : Kimé. 352 p. (Philosophie en cours).
[notice éditeur]
Jan Sebestik, Antonia Soulez (2002) Wittgenstein et la philosophie d’aujourd’hui. Paris : L’Harmattan. 440 p. (Épistémologie et philosophie des sciences) Textes réunis et présentés par Jan Sebestik et Antonia Soulez. Réédition de l’ouvrage paru en 1992 chez Méridiens Klincksieck.
[notice éditeur avec extraits]
Jan Sebestik, Antonia Soulez (2002) Le Cercle de Vienne. Doctrines et controverses. Paris : L’Harmattan. 314 p. (Épistémologie et philosophie des sciences) Textes réunis et présentés par Jan Sebestik et Antonia Soulez. Réédition de l’ouvrage paru en 1986 chez Méridiens Klincksieck.
[notice éditeur avec extraits]
Antonia Soulez (1998) Leçons sur la liberté de la volonté (Ludwig Wittgenstein). Paris : PUF. 360 p. (Epimethée) Traduction d’inédits sur le « free will » suivie d’un Essai sur le libre jeu de la volonté.
[notice éditeur]
Antonia Soulez (1991) Le projet d’une grammaire philosophique chez Platon : du Cratyle au Sophiste. Paris : PUF. 347 p. (Philosophie d’aujourd’hui). Thèse soutenue en 1988 sous la direction de Jacques Brunschwig.
Parution de « Détrôner l’Être, Wittgenstein antiphilosophe ? (en réponse à Badiou) » d’Antonia Soulez
L’ouvrage d’Antonia Soulez Détrôner l’Être, Wittgenstein antiphilosophe ? (en réponse à Badiou) paraît en septembre aux éditions Lambert-Lucas dans la collection « Le discours philosophique » dirigée par Frédéric Cossutta.
« L’occasion de ce livre n’est pas tant de polémiquer avec Alain Badiou, – pour qui Wittgenstein est un antiphilosophe dont seul le Tractatus est digne d’être lu, – que de renverser la critique : tandis que pour Badiou, le philosophe doit guérir de l’antiphilosophie, – c’est-à-dire, selon lui, de l’antiplatonisme, – Wittgenstein soutient au contraire que pour guérir du platonisme, il faut lâcher l’idée d’une doctrine arrêtée des fondements objectifs de la signification pour une pratique d’application qui fait de la philosophie une activité à l’épreuve du réel. L’Être détrôné laisserait alors le champ à l’être se manifestant à nous par les aspects que nous en recueillons. Ce mouvement reconduit vers une politique du langage, dans une perspective engagée que Badiou a refusé de reconnaître au Cercle de Vienne pourtant inspiré en premier lieu par Wittgenstein. Car en nous ramenant au sol de nos usages, la méthode descriptive consiste bien à nous ramener de la grammaire vers les institutions. »
Détrôner l’Être a fait l’objet de quatre recensions :
- par Geneviève Brykman dans le N° 1 de la revue Philosophique de 2019
- par Alexandra Dias Fortes dans la revue Philosophica : Review of Détrôner l’Être. Wittgenstein Antiphilosophe (En réponse à Alain Badiou)
- par Stefano Oliva (Università Roma Tre), dans la revue en ligne Implications philosophiques, en avril 2017, http://www.implications-philosophiques.org/recensions/(…)/ ;
- par Basak Aray (Istanbul, post-doctorante), dans la Revue métaphysique et de morale, à paraître en 2018.
Lien
Présentation de l’ouvrage sur le site de l’éditeur : www.lambert-lucas.com/detroner-l-etre-wittgenstein