Why Wittgenstein’s use of the word « praxis » is not articulated to a social conception of the role of critique of language in society

Conférence le 11  décembre à l’Università del Salento à Lecce (Italie).

> Le programme

Abstract : “When words are not just, then the works of art are excluded, and then if works are ruled out, then morals and art are ill. Which means that “justice is not rightly applied and the nation does not know where to stand up safe” (K. Kraus).
Not only Wittgenstein has his own view on fetichization  (of “objects”)  as regards the relation of designation of objects (as ontologically  given) by names and developed an interesting  critique of the “epistemological ritual”  of naming « objects » that has a strong political dimension (Aldo Gargani’s point)  but there is much to say as regards the benefit of a Marxist reading in parallel to a linguistic approach to objects. The role of  the economist Sraffa’s conception (close to Gramsci) and his influence on Wittgenstein’s radical turn to his so-called “second philosophy” are to be mentioned in so far as they contribute to shed light on the social-political importance of the concept of “praxis” in Wittgenstein’s Philosophical Investigations. Yet far from me the idea that language and politics match. The point is rather to establish criterions of efficiency different in kind rather than intrinsically opposed.There are indeed good reasons for comparing the two critical diagnosis of semantic reification with social reification, given the existence of (austro) marxism in the social-political context of “Vienna the red” in the 1920’s as well as in the Marxist environment Wittgenstein was acquainted with in the 1935’s in Cambridge. Yet there is more to say in order to justify the use by Wittgenstein of the concept of “praxis”. Does “Praxis” as a key-word in Wittgenstein’s conception of “philosophy as an activity” in his second philosophy of “forms of life” contain a programme of application of symbols  in life that really witnesses the search for a socio-political efficacy beyond  a linguistic kind of praxis ? »

Du poème à la musique, de la musique au poème

Présentation d’une conférence à ces deux journées organisées par Katerina Paplomata, Céline Barral et Marina Seretti, à l’Université de Bordeaux-Montaigne sur  « Du poème à la musique, de la musique au poème. Composition,  transformation, écoute », qui se dérouleront les 17 et 18 octobre prochains.

> Brochure du colloque

Parutions à venir

– Réédition chez Vrin des Fondements philosophiques de la physique de Rudolf Carnap,

– Dans la collection philosophie musique chez Delatour-France (que je dirige avec Julien Labia): Actes de Journées sur Lydia Goehr (org. Lambert Dousson et Elise Marrou)

– Mon livre: Les philosophes et les sons ( Delatour) . Ce livre contient des travaux déjà présentés dans différents colloques en France et à l’étranger notamment sur  Scriabine, G. Crumb, St. Reich, Ligeti, l’Ecole de Princeton, Beckett, et une étude personnelle sur l’intonation qui clôt l’ensemble.

« Contribution » à une philosophie pour les Qualia (qualités sonores). L’exemple de la recherche sonore de Scriabine

Publication d’une étude sur Scriabine: « Contribution à une philosophie pour les Qualia (qualités sonores). L’exemple de la recherche sonore de Scriabine », publiée dans les Actes d’un colloque pour le Centenaire de Scriabine, Skrjabin e il Suono-Luce , Firenze University Press, a cura di Luis Curinga et Marco Rapetti ( conservatoire Cherubini, Florence)
2018, Italie, www.fupress.com p 91-115 (en français).

Mes remerciements vont à la Fondation études avancées de Bogliasco, Italie en la personne d’Ivana Folle.

Cette étude a fait l’objet également d’une publication sur la synesthésie et la recherche sonore de Scriabine, suite à une conférence en février 2018 salle Cavaillès à la Sorbonne, sur Quelques aspects de l’Europe musicale chez Scriabine : la question de la synesthésie, dans le cadre d’un séminaire sur l’idée russe face aux idées occidentales, organisé par Igor Sogologorsky, dont les Actes seront édités prochainement aux Classiques Garnier, avec le soutien du labEx COMOD.

Elle constituera également un chapitre de mon futur livre à paraître chez Delatour-France sur « Les philosophes et les sons ».

> L’article est paru dans les Actes du Centenaire d’Alexandre Scriabine, sous le titre  Skrjabin e il Suono Luce  dirigés par M. Rapetti et L. Curinga, Presses universitaire de Florence, Florence (conservatoire Cherubini) 2018, volume 19